Un peu de paroles - DS commun de français

Voilà c'est ma rédaction du 1er devoirs commun de français(je dis ça pour ceux qui sont en 2nd au lycée Jean Racine). Elle doit être pas mal d'après le correcteur parce qu'il a écrit "excellent devoir"(1ere fois que j'ai ce genre de commentaire sur une copie de français).

Le criminel passionné

Je suis comme à l'habitude seul, installé devant cette histoire de criminel passionné qui ne tue que par jalousie. Ce fillm commence à devenir ennuyeux malgrè les actions qui s'enchainent et l'enquêteur qui rassemble indice sur indice pour peut-être se dire qu'il suit probablement le mauvais chemin; c'est mieux comme ça, je préfère quand le résultat de l'amour passionné l'emporte.
Tout à coup, je sursaute car un visiteur inattendu sonne à la porte. Je m'y dirige, ouvre le verrou et derrière la porte se trouve seulement le vide de la rue et la merveilleuse mort de la nuit. Il me vient à l'esprit que ce n'est qu'une blague que le petit du voisin me fait pour me souhaiter la bienvenue. Je referme la porte et décide de retrouver le tueur et celui qui le recherche. En me dirigeant vers le salon, je sens comme ujne présence m'effleurer dans le dos mais personne n'est là, c'est probablement la fatigue. Une fois assis sur le canapé je voie le soda que j'avais posé, renversé sur la table basse, alors je commence à m'engoisser et à penser que je ne suis peut-être pas si seul dans cette maison. Un voleur, un assassin, un fou, un chat... c'est vrai que la fenêtrequi donne sur le jardin est ouverte alors c'est probablement ce félin de velours qui a décidé de passer la nuit chez moi. Là je m'apperçois que l'image de la télévision c'est arrêtée comme si la chaine faisait une pause; ce qui reste à l'écran est le corps d'un homme égorgé sûrement encore par le même tueur. Et en m'intéressant à cette photo il me semble que c'ets moi cet homme couché sur le sol au pied du lit, emporté par la mort. J'éteinds la télé et décide de monter me coucher. En entrant dans ma chambre, se trouve endormie sur mon lit non pas le chat que je m'attendais à surprendre mais une femme élégante, belle, parfaite, elle est brune, a le teint pâle, elle est magnifique, elle ressemble à la femme du criminel de ce film. Je m'avance et devant moi surgit celui qui doit me tuer; le seul détail différent de l'image est l'arme du crime. Une arme à feu, un walter PPK en bon état malgrè les années, est pointé sur mon visage. L'homme appuie sur la gachette et je me réveille.
Ce n'était que le fruit de mes rêves et à côté de moi dort toujours cette déesse, c'est ma femme. J'ai rêvé de ma femme et des pulsions meurtrières que j'aurais si un autre homme lui faisait du mal. J'étais le criminel passionné.