L'âme d'une guitare brulée finit au paradis
Shut up when I'm talking to you...
ChesterCharlesBennington : j'y penserais :p je voudrais pas non plus qu'on m'oublie lol. bisous grde soeur, j'adoooooooooooo re !!
immortalangel : ce serait du de t'oublier, t tellement super !!gros gros bisouxx et bonne nuit ta gde seur (l'ange...)
tnb : coucou australien ! good vacances. biz
immortalangel : coucou en passant par ici et de gros bisous :)
ChesterCharlesBennington : je suis enfin revenu. il me manquait ce petit coin de toile... bisous à tous
immortalangel : tu nous manque aussi...C'est cool de voir que tu n'abandonnes pas ici :)
tnb : coucou J'aime bien ton fond mais la couleur de la police fait mal aux yeux (enfin c'est ptete mes yeux le pb je sais pas) j'vais aller changer d'yeux a moins que tu changes de couleur ca serait cool !
BIsous et puis vive ici
tnb : j'aime bien comme ca :D
immortalangel : moi aussi j'aime bien :) et toi je t'adore pti frere :)
ChesterCharlesBennington : mirci les gens. kiss
immortalangel : chester de retour ici c cool :) j'espere que tu passes de bonnes vacs et que ca va toujours aussi bien :) Gros bisous, je t'adore
titegreuet : Grand frère
Je ne sais pas si tu vas lire ca... Mais je t'aime très très fort ! Vivement les Solidays =D
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Lundi (04/08/08)
This is not a love song
--> Public Image Ltd
Ecrit par Bin's ô Chester, à 22:41 dans la rubrique "Un peu de paroles...".
Dimanche (01/06/08)
Guerriers Balubas
--> Ludwig von 88
Ecrit par Bin's ô Chester, à 11:33 dans la rubrique "Un peu de paroles...".
Vendredi (03/08/07)
Muse - Nature 1
Mercredi (31/05/06)
Zero
Samedi (27/05/06)
La Salle de Bains
Dimanche (02/04/06)
Why don't you get a job ?
Mardi (17/01/06)
Where is my mind ?
Dimanche (15/01/06)
J'aime pas
Mercredi (28/12/05)
Wonderwall
Hello
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Au lecteur
La sottise, l’erreur, le péché, la lésine, Occupent nos esprits et travaillent nos corps, Et nous alimentons nos aimables remords, Comme les mendiants nourrissent leur vermine. Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ; Nous nous faisons payer grassement nos aveux, Et nous rentrons gaiement dans le chemin bourbeux, Croyant par de vils pleurs laver toutes nos taches. Sur l’oreiller du mal c’est Satan Trismégiste Qui berce longuement notre esprit enchanté, Et le riche métal de notre volonté Est tout vaporisé par ce savant chimiste. C’est le Diable qui tient les fils qui nous remuent ! Aux objets répugnants nous trouvons des appas ; Chaque jour vers l’Enfer nous descendons d’un pas, Sans horreur, à travers des ténèbres qui puent. Ainsi qu’un débauché pauvre qui baise et mange Le sein martyrisé d’une antique catin, Nous volons au passage un plaisir clandestin Que nous pressons bien fort comme une vieille orange. Serré, fourmillant, comme un million d’helminthes, Dans nos cerveaux ribote un peuple de Démons, Et, quand nous respirons, la Mort dans nos poumons Descend, fleuve invisible, avec de sourdes plaintes. Si le viol, le poison, le poignard, l’incendie, N’ont pas encor brodé de leurs plaisants dessins Le canevas banal de nos piteux destins, C’est que notre âme, hélas ! n’est pas assez hardie. Mais parmi les chacals, les panthères, les lices, Les singes, les scorpions, les vautours, les serpents, Les monstres glapissants, hurlants, grognants, rampants, Dans la ménagerie infâme de nos vices, II en est un plus laid, plus méchant, plus immonde ! Quoiqu’il ne pousse ni grands gestes ni grands cris, Il ferait volontiers de la terre un débris Et dans un bâillement avalerait le monde ; C’est l’Ennui ! L’oeil chargé d’un pleur involontaire, II rêve d’échafauds en fumant son houka. Tu le connais, lecteur, ce monstre délicat, – Hypocrite lecteur, – mon semblable, – mon frère !
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